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Création : 20/10/2012 à 12:19 Mise à jour : 19/08/2019 à 08:23

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6 articles taggés Classiques Larousse

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Horace

Horace

Titre : Horace
Auteur : Pierre Corneille
Edition : Larousse
Année de publication : 1640
Pages : 104
Prix : à partir de 2¤

___Quatrième de couverture
Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !

___Extrait
Albe, où j'ai commencé de respirer le jour,
Albe, mon cher pays, et mon premier amour ;
Lorsqu'entre nous et toi je vois la guerre ouverte,
Je crains notre victoire autant que notre perte.
Rome, si tu te plains que c'est là te trahir,
Fais-toi des ennemis que je puisse haïr.




___Mon commentaire
S'inspirant de Tite-Live, Pierre Corneille met en scène le conflit qui oppose Rome et Albe. Au lieu d'une bataille sanglante, les rois penchent pour un affrontement de champions ; Rome choisit les trois Horaces, Albe les trois Curiaces.
L'histoire tourne au drame familial. En effet, Sabine, l'épouse d'Horace, est la soeur de Curiace, lui-même fiancé à Camille, soeur d'Horace. Les héros se doivent, malgré les supplications des femmes, d'oublier les liens affectifs par devoir pour leur pays.
Qui sortira vivant de ce combat sans merci?
Corneille a publié Horace en 1640 dans un contexte particulier. La France et l'Espagne étaient alors en guerre, et Philippe IV d'Espagne n'était autre que le frère d'Anne d'Autriche, reine de France, et époux d'Elisabeth de France, soeur de Louis XIII. Vous suivez? Nous retrouvons la même configuration familiale dans la pièce.
Horace marque aussi le début d'une longue série de tragédie romaine. Corneille est en effet friand d'Histoire romaine.
Pour ce qui est de savoir comment j'ai personnellement trouvé la pièce, j'ai apprécie cette lecture mais on est loin du coup de coeur du Cid.

___Vos avis?




Away--x___
Tags : Classiques Larousse, Pierre Corneille, Larousse, #Rupture Symbolique
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#Posté le dimanche 10 janvier 2016 09:00

Modifié le dimanche 12 juin 2016 09:05

Cinna

Cinna



Titre : Cinna
Auteur : Pierre Corneille
Edition : Larousse
Année de publication : 1642
Pages :
Prix : 1¤ d'occasion

___Quatrième de couverture
Rome sort à peine des guerres civiles. Pour en devenir le maître absolu, Auguste exerce la plus impitoyable cruauté et fait notamment exécuter Toranius. Pour le venger, la fille de celui-ci demande à Cinna de frapper le tyran. Cette belle histoire de sang pose la question du pardon et nous invite à une magnifique réflexion politique : comment faire reconnaître un nouveau pouvoir?





___Extrait
Impatients désirs d'une illustre vengeance
Dont la mort de mon père a formé la naissance,
Enfants impétueux de mon ressentiment,
Que ma douleur séduite embrasse aveuglément,
Vous prenez sur mon âme un trop puissant empire ;
Durant quelques moments souffrez que je respire,
Et que je considère, en l'état où je suis,
Et ce que je hasarde, et ce que je poursuis.
Quand je regarde Auguste au milieu de sa gloire,
Et que vous reprochez à ma triste mémoire
Que par sa propre main mon père massacré
Du trône où je le vois fait le premier degré ;
Quand vous me présentez cette sanglante image,
La cause de ma haine, et l'effet de sa rage,
Je m'abandonne toute à vos ardents transports,
Et crois, pour une mort, lui devoir mille morts.
Au milieu toutefois d'une fureur si juste,
J'aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste,
Et je sens refroidir ce bouillant mouvement
Quand il faut, pour le suivre, exposer mon amant.

___Mon commentaire
Je ne reviendrai pas sur l'histoire de Cinna elle-même.
Ma critique, cette fois, sera brève car j'avoue sécher un peu.
Cette pièce de Corneille est agréable à lire ; ce style me plait toujours autant, l'écriture est magnifique !
Pas de bain de sang, Cinna pourra épouser Emilie sans assassiner Auguste, l'empereur pardonne aux conspirateurs, la belle se réconcilie avec celui qui l'a privée de son père. Tout est bien qui finit bien, et, pourtant, cela semblait fort mal parti !

___Vos avis?


Rupture Symbolique___
Tags : Pierre Corneille, #Rupture Symbolique, Classiques Larousse
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#Posté le jeudi 29 juin 2017 12:48

Modifié le dimanche 02 juillet 2017 10:54

Lorenzaccio

LorenzaccioTitre : Lorenzaccio
Auteur : Alfred de Musset
Edition : Classiques Larousse
Année de publication : 1895
Pages : 122
Prix : acheté d'occasion

___Quatrième de couverture
Lorenzino, Lorenzetta, Renzo, Renzino : Musset module à l'infini les surnoms et les masques pour désigner Lorenzo de Médicis, androgyne à l'aspect maladif qui nourrit en secret un projet terrible. Lorenzaccio, cousin et favori du duc Alexandre, est un modèle de débauche qui a pourtant ses entrées chez ceux qui la déplorent. Il sait que son acte, désespéré mais nécessaire sur le plan privé, sera récupéré par le flux, transformé en geste public dérisoire sur le plan universel. De tirades cyniques en monologues poignants, Musset trace les contours d'une silhouette fantasmagorique qui se détache d'une Florence en pleine déchéance. Pris au piège de son jeu bien plus qu'Hamlet, Lorenzaccio cultive son drame. Non pas comme d'autres romantiques cultivent leur mélancolie, mais parce que c'est le seul lien qui lui reste avec la réalité.

___Extrait
Voilà les guerres de famille, voilà comme les couteaux se tirent. On est insulté, et on tue ; on a tué, et on est tué. Bientôt les haines s'enracinent ; on berce les fils dans les cercueils de leurs aïeux, et des générations entières sortent de terre l'épée à la main.

___Mon commentaire
Les intrigues vont bon train dans la Florence des Médicis. Alors que les autres grandes familles de la ville préparent leur vengeance, Lorenzo met ses plans au point : il tuera Alexandre, ce duc insolent qui déshonore toutes les filles de la ville.
Comment ce personnage chétif et à l'apparence peureuse trouvera-t-il la force et le courage de supprimer son cousin? C'est ce que Musset nous propose de découvrir.
La pièce est plus longue que d'ordinaire ; il semblerait que son auteur l'ait écrite sans l'intention de la faire représenter. Effectivement, longtemps, on n'en a joué que des extraits choisis.
Pourtant, je ne me suis pas ennuyée dans cette lecture. Le style d'Alfred de Musset est aussi somptueux que dans mes souvenirs !

___Vos avis?


Rupture Symbolique___
Tags : Classiques Larousse, Alfred de Musset, #Rupture Symbolique
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#Posté le dimanche 27 août 2017 06:00

Les plaideurs

Les plaideursTitre : Les plaideurs
Auteur : Jean Racine
Edition : Larousse
Année de publication : 1668
Pages : 79
Prix : 2,55¤

___Quatrième de couverture
Magistrats, avocats, plaideurs, avoués, greffiers, voilà tout un monde étrange, à la fois séparé de la société, notamment par son jargon, mais aussi étroitement attaché à elle par mille liens variés, un microcosme où se rencontrent les passions les plus généreuses comme les mesquineries les plus sordides, un Royaume qui possède ses Palais, ses dignitaires, ses lois et ses usages, qui attire les honnêtes gens comme les crapules, les personnes de bon sens comme les plus forcenés des maniaques.
Rien d'étonnant à ce que ce monde-là ait toujours fasciné les écrivains, d'Aristophane à Courteline en passant par l'auteur de Maître Pathelin, Rabelais et Racine lui-même qui n'hésita pas à délaisser provisoirement ses chères tragédies pour nous divertir avec ces Plaideurs que nous vous présentons aujourd'hui.


___Extrait
LEANDRE : Mais où dormirez-vous, mon père?
DANDIN : A l'audience.

___Mon commentaire
Ah ! que nous sommes loin des dramatiques Phèdre ou Bérénice ! Les plaideurs n'a rien à voir avec les célèbres tragédies, non, dans cette pièce, Racine a choisi de se moquer du monde juridique : juges, avocats, plaignants... chacun en prend pour son grade au fil de l'histoire du juge Dandin qui voudrait passer chaque heure de la journée à juger, de Chicanneau et de la comtesse qui ne peuvent s'empêcher de porter plainte, de Léandre et d'Isabelle qui s'aiment et voudraient se marier.
Moins de deux heures suffisent à lire cette courte pièce. le style est, comme toujours avec Racine, superbe ! - non, décidément, je ne m'en lasserai jamais - et, pour une fois, au lieu de pleurer, on sourit et on rit !

___Vos avis?


Rupture Symbolique___
Tags : #Rupture Symbolique, Classiques Larousse, Larousse, Jean Racine
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#Posté le dimanche 10 juin 2018 06:00

Modifié le samedi 16 juin 2018 04:48

Candide

Candide
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Titre : Candide ou l'Optimisme
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Auteur : Voltaire

Edition : Pleins !

Date de publication : 1759

Pages : 100

Prix : 3¤Q
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Quatrième de couverture :
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 Il n'y a pas d'effet sans cause, Candide devrait le savoir ! Tout acquis aux leçons de l'optimiste docteur Pangloss - selon qui tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles -, Candide mène une existence heureuse dans le château de Thunder-ten-tronckh. Mais un jour, pour avoir embrassé la belle Cunégonde, il est brutalement chassé de son paradis terrestre.
Q
De la Westphalie jusqu'en Turquie, en passant par la Hollande, l'Angleterre, le Portugal et les Amériques, il découvre une réalité odieuse, où la barbarie des hommes n'a d'égale que l'horreur provoquée par les catastrophes naturelles.
Q
Instaurant un dispositif satirique d'une méchanceté inouïe à rencontre des métaphysiques stériles, Voltaire rédige le plus noir mais aussi le plus enjoué de ses contes philosophiques.
Q
Q
Extrait : 
Q
 
___En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n'ayant plus que la 
moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite.
___« Eh! mon Dieu! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois?
___- J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre.
___- Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi?
___- Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année. Quand nous travaillons au sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe: je me suis trouvé dans les deux cas. C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. Cependant, lorsque ma mère me vendit dix écus patagons sur la côte de Guinée, elle me disait: « Mon cher enfant, bénis nos fétiches, adore-les toujours, ils te feront vivre heureux; tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère. » Hélas! je ne sais pas si j'ai fait leur fortune, mais ils n'ont pas fait la mienne. Les chiens, les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux que nous; les fétiches hollandais qui m'ont converti me disent tous les dimanches que nous sommes tous enfants d'Adam, blancs et noirs. Je ne suis pas généalogiste; mais si ces prêcheurs disent vrai, nous sommes tous cousins issus de germain. Or vous m'avouerez qu'on ne peut pas en user avec ses parents d'une manière plus horrible.
___- O Pangloss! s'écria Candide, tu n'avais pas deviné cette abomination; c'en est fait, il faudra qu'à la fin je renonce à ton optimisme.
___- Qu'est-ce qu'optimisme? disait Cacambo.
___- Hélas! dit Candide, c'est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal. » Et il versait des larmes en regardant son nègre; et en pleurant, il entra dans Surinam.
Q
(Chapitre 19)
Oui, j'avoue, je me suis pas cassée la tête et j'ai pris le passage le plus connu)
Q
Q
Mon commentaire :
Q
Candide



___A toutes celles et ceux qui seront, ont été, ou bien sont encore lycéens, vous aurez surement lu Candide. Si si. Ou vous en aurez au moins étudié un petit bout.
Pour ma part, il fait partie de ma liste des textes pour l'oral du bac de français, autant vous dire que j'étais ravie quand j'ai su ça (c'est de l'ironie, au cas ou.)
Q
___Donc. Ce livre, j'ai eu à le lire en une semaine, j'avais fait un planning et tout, avec le nombre de pages que j'avais à lire par jour, mais il m'a tellement passionnée que je l'ai abandonné dès le 3ème jour. Résultat je me suis retrouvée un dimanche après-midi à lire plus de 10 chapitres d'un coup. Supplice.
Q
___Une chose est sur, c'est qu'on ne peut pas dire qu'il ne se passe rien dans ce livre : tout s'enchaîne très vite, et Candide, le héro de l'histoire, fait le tour du monde en 30 chapitres. Et ouais, c'est un ouf. Pour vous expliquer un peu la vitesse du truc, j'étais en train de lire, et Candide se trouvait à Portsmouth, un port au sud de l'Angleterre donc; je me suis perdue dans mes pensées une minute tout en continuant à lire, je me reconcentre sur le texte, et Candide est arrivé dans la mer Méditerranée, et c'était encore la même phrase. Trop. De. Rapidité.
Q



___Sinon, le fond de l'histoire, c'est Candide, le 'bâtard' du baron de Thunder-Ten-Tronckh qui se fait chasser de chez lui. Il commence donc son aventure par errer dans les alentours, son objectif ultime étant d'épouser Cunégonde, la fille de baron. Après quelques mésaventures il se retrouvent à devoir la poursuivre jusqu'au bout du monde. Une autre quête de Candide est celle de l'esprit, c'est à dire qu'il cherche à penser par lui-même, et à voir que non, décidément, le monde n'et pas merveilleux.
Q
___Contrairement à Zadig que j'ai pu lire l'année dernière, j'ai trouvé ce livre très peu intéressant, et j'avoue qu'en fermant le bouquin, j'ai même pas trouvé où était la portée philosophique de ce truc. Je suis peut-être débile, mis j'espère ne pas être la seule.
Q
___Honnêtement, j'ai beaucoup exagéré cet avis, il n'est pas si horrible que ça ce livre, mais sérieusement, si vous pouvez, essayez de ne pas le lire. (ça reste mon avis hein)
Q
Q
Vos avis ?
Q
Avis de Livresquement-Parlant :
 "Ce livre je 'ai étudié l'année dernière et ça à été le plus gros WTF livresque de toute ma vie. x) J'ai aimé, mais pas dans le sens où j'ai trouvé que le livre était magnifique et tout mais dans le sens où l'histoire et les personnages étaient hallucinants, entre ceux qui sont un poil stupides sur les bords (Candide je pense à toi :') ), ceux qui meurent et ressuscitent je ne sais combien de fois, les types qui font leur voyage en Amérique en même pas deux jours... J'ai ri tout le long du livre. x) Pour moi, même si à étudier a à été énervant au possible, à lire ça à été un régal. ^^ Donc contrairement à toi je conseillerais de le lire, ce n'est pas le livre le plus long et le plus lourd à lire et il est franchement délirant. :'3"
Q
Avis de Les-Contes-de-Krysten :
 "J'ai eu la chance (ou la malchance ?) de lire Candide il y a plusieurs mois. Je dois avouer que je trouve l'histoire vraiment pas intéressante, que tout s'enchaîne beauuuuucoup trop rapidement et que je trouve les personnages très pathétiques... MAIS ! ayant fait de la lecture analytique sur plusieurs chapitres, on se rend compte en décortiquant que c'est vraiment merveilleusement bien construit ! Certes, certains passages sont ennuyants à mourir mais une fois le texte bien analysé (grâce à ma prof de français qui est la fan numéro 1 de Voltaire) on peut voir que le récit est très bien fait, grâce à l'habileté et le génie de Voltaire, et l'objectif de l'auteur était quand même de critiquer la philosophie optimiste de Leibniz... Je trouve donc que ce livre est un chef d'oeuvre !"
S
Avis de Aliciachat :
 "Je l'ai lu pour les cours et franchement il était moin pire que 'le dernier jour d'un condamné ' de Victor Hugo XD après concernant le message il utilise l'ironie pour critiquer la société (par exemple la condition de la femme à travers l'exemple de 'la vieille ' ) et la religion . Son livre représente la quête du bonheur avec l'exemple du pays d'Eldorado, un pays où les hommes ont tout pour être heureux , où l'argent n'a pas de valeur. Cependant le bonheur de Candide est de retrouver sa bien-aimée, c'est pourquoi il quitte ce pays qui n'était qu'un arrêt parmi tant d'autres dans sa quête. Mais dans le dernier chapitre, l'auteur Voltaire nous apprend que pour trouver son bonheur, il faut cultiver son jardin, il faut travailler pour le construire, l'argent ne fait également pas le bonheur. Voilà voilà après moi c'est ce que j'ai compris du roman .
Q
Q
Q
Sa-chan
Tags : Voltaire, Larousse, Classiques Larousse, #Sa-chan
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#Posté le samedi 19 octobre 2013 10:22

Modifié le vendredi 23 décembre 2016 13:10

Zadig

Zadig

 








Titre : Zadig ou La Destinée, histoire orientale

 Auteur : Voltaire

 Edition : //

 Date de publication : 1747

  Prix : min 1.50¤
 
 










Quatrième de couverture :
 Zadig et autres contes
Jeune et riche, beau et intelligent, courtisé et considéré, Zadig incarnait à Babylone la plénitude du bonheur humain lorsque les caprices de la fortune mirent à l'épreuve la fermeté de son caractère et les ressources de son esprit. Trahi par la belle Sémire, en butte à la jalousie du roi Moabdar, le voici réduit à l'état de vagabond. Mais le malheur est-il vraiment sans remède pour qui possède « le talent de démêler la vérité que tous les hommes cherchent à obscurcir » ?
On peut discerner dans Zadig la méditation d'un sage sur les jeux de la liberté et de la nécessité. On peut y découvrir également d'impertinentes allusions à la vie de Cour, une transposition romancée des mésaventures versaillaises de Voltaire et de ses déboires sentimentaux. On doit surtout se laisser ravir par le charme de cette fantaisie narrative où l'esprit de l'Arioste voisine avec celui des Mille et Une Nuits.
Q
Q
 Extrait :
 (Un peu long, mais c'est un article spécial alors bon...)
 
       Un jour, se promenant auprès d'un petit bois, il vit accourir à lui un eunuque de la reine, suivi de plusieurs officiers qui paraissaient dans la plus grande inquiétude, et qui couraient çà et là comme des hommes égarés qui cherchent ce qu'ils ont perdu de plus précieux.
« Jeune homme, lui dit le premier eunuque, n'avez-vous point vu le chien de la reine ? »
Zadig répondit modestement : « C'est une chienne, et non pas un chien. »
- Vous avez raison, reprit le premier eunuque.
— C'est une épagneule très petite, ajouta Zadig ; elle a fait depuis peu des chiens ; elle boite du pied gauche de devant, et elle a les oreilles très longues.
— Vous l'avez donc vue ? dit le premier eunuque tout essoufflé.
- Non, répondit Zadig, je ne l'ai jamais vue, et je n'ai jamais su si la reine avait une chienne. »
       Précisément dans le même temps, par une bizarrerie ordinaire de la fortune, le plus beau cheval de l'écurie du roi s'était échappé des mains d'un palefrenier dans les plaines de Babylone. Le grand veneur et tous les autres officiers couraient après lui avec autant d'inquiétude que le premier eunuque après la chienne. Le grand veneur s'adressa à Zadig, et lui demanda s'il n'avait point vu passer le cheval du roi.
« C'est, répondit Zadig, le cheval qui galope le mieux ; il a cinq pieds de haut, le sabot fort petit ; il porte une queue de trois pieds et demi de long ; les bossettes de son mors sont d'or à vingt-trois carats ; ses fers sont d'argent à onze deniers.
— Quel chemin a-t-il pris ? où est-il ? demanda le grand veneur.
— Je ne l'ai point vu, répondit Zadig, et je n'en ai jamais entendu parler. »
       Le grand veneur et le premier eunuque ne doutèrent pas que Zadig n'eût volé le cheval du roi et la chienne de la reine ; ils le firent conduire devant l'assemblée du grand Desterham, qui le condamna au knout, et à passer le reste de ses jours en Sibérie. A peine le jugement fût-il rendu qu'on retrouva le cheval et la chienne. Les juges furent dans la douloureuse nécessité de réformer leur arrêt ; mais ils condamnèrent Zadig à payer quatre cents onces d'or, pour avoir dit qu'il n'avait point vu ce qu'il avait vu. Il fallut d'abord payer cette amende ; après quoi il fut permis à Zadig de plaider sa cause au conseil du grand Desterham ; il parla en ces termes :
       « Étoiles de justice, abîmes de science, miroirs de vérité qui avez la pesanteur du plomb, la dureté du fer, l'éclat du diamant, et beaucoup d'affinité avec l'or, puisqu'il m'est permis de parler devant cette auguste assemblée, je vous jure par Orosmade, que je n ai jamais vu la chienne respectable de la reine, ni le cheval sacré du roi des rois. Voici ce qui m'est arrivé : Je me promenais vers le petit bois où j'ai rencontré depuis le vénérable eunuque et le très illustre grand veneur. J'ai vu sur le sable les traces d'un animal, et j'ai jugé aisément que c'étaient celles d'un petit chien. Des sillons légers et longs imprimés sur de petites éminences de sable entre les traces des pattes m'ont fait connaître que c'était une chienne dont les mamelles étaient pendantes et qu'ainsi elle avait fait des petits il y a peu de jours. D'autres traces en un sens différent, qui paraissaient toujours avoir rasé la surface du sable à côté des pattes de devant, m'ont appris qu'elle avait les oreilles ; très longues ; et comme j'ai remarqué que le sable était toujours moins creusé par une patte que par les trois autres, j'ai compris que la chienne de notre auguste reine était un peu boiteuse, si je l'ose dire. »
 
~ Chapitre III, le chien et le cheval.
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 Mon commentaire :
 
Mon avis sur Zadig ? Il est mieux que je ne l'aurais cru. C'est un livre que j'ai étudié pour le lycée, alors forcément, je suis partie avec des à priori.
Premièrement, je pensais que ça allait être dur à lire, puisqu'il a été écrit au XVIIIe siècle, et que ce n'est pas d'un petit auteur, mais en fait non. Je l'ai lu rapidement, et puis les chapitres -ou contes- sont très courts, et au nombre de 19.
Ensuite, Zadig est un conte philosophique, comme plusieurs autres textes de Voltaire, alors je pensais que l'histoire serait absolument tirée par les cheveux, très durs à comprendre, mais au contraire, c'est très simple à lire, et plutôt même assez entraînant.
L'histoire en elle-même parle de Zadig, personnage très beau, intelligent, etc. Il est un peu décrit comme un personnage parfait comparé aux autres. Ok, l'histoire en elle-même n'a pas vraiment d'intérêt (ce n'est que mon avis !), mais c'est plutôt le message que chaque chapitre renferme qui est important.
Je ne vous ferai pas de commentaire plus poussé du livre, car c'est un texte à étudier en classe, et je ne suis prof de français. Alors vous me direz que mon article ne sert à rien. Euh... C'est possible ! Mais c'est juste pour que vous ne soyez pas trop dégoûtés si un jour vous avez à le lire.
 
(J'ai l'impression qu'à chaque fin de chapitre Zadig était condamné à mort.)
Q
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Q
 Vos avis :

Avis de love-of-book :
   "J'ai du le lire pour mon bac de français et j'avais beaucoup aimé, un livre plein d'optimisme :)
Q
Avis de Tout-Plein-DeRP :
  "J'ai du lire ce livre pour mon année de Seconde. Je m'attendais à pire. Un jeune homme qui cherche le bonheur, et Voltaire qui nous entraîne dans une philosophie facile à comprendre. Un livre sympathique (:"

Avis de l3ones :
 "Je pensais moi aussi qu'il était difficile à lire, et je n'étais pas ravie de l'avoir sur ma liste des livres pour le Bac x_x Mais bon, j'ai commencé à le lire, et je l'ai terminé en moins d'une semaine. J'ai adoré, il est simple à comprendre, et le but philosophique est bien atteint. Enfin... de mon avis bien sur x) J'ai bien aimé ce livre, mais je ne sais pas si je le relirais un jour ^^

Avis de The7thArt :
 "Ah tiens j'ai aussi dû le lire en classe. Une bonne surprise, même si ce n'est pas le roman le plus passionnant que j'ai pu lire."
Q
Q
Q
Q
- Sa-chan 
Tags : Voltaire, Larousse, Classiques Larousse, #Sa-chan
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#Posté le samedi 16 mars 2013 10:03

Modifié le dimanche 03 mai 2015 06:47

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